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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

Thierry Le Luron - Le Pen Attention Danger

Publié le 16 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP

Thierry-Le-Luron---Le-Pen.jpgPersonne n'avoue que pour lui il a voté

Pourtant de Nice à Belleville des Français

Se sont portés sur son nom et ses idées

Comme la Gégène ça me fait trembler (1)

Gros menhir aux cheveux blonds comme les blés

Entouré par des légions de crânes rasés

Je ne veux pas de ta nation milicée

Souvenirs ... attention ... danger

 

Le Pen, les hommes sont égaux pour moi

Le Pen, ils ont un même cœur qui bat

Le Pen, le même sang coule dans leur veines

Le Pen, Mohamed, Amie ou Alain

Le Pen, je ne vois là que des êtres humains

Le Pen, qui s'ront les Français de demain

Tes propos attrape-gogos font fureur

Lorsque tu traites de salauds tous les beurs

Faut dire que pour rafler le plein de tes voix

Tu as sorti la grosse Bertha (2)

A Santiago comme à Moscou les extrêmes

Ne survivent que par les coups qu'ils assènent

Je ne veux pas de ta nation barbelée

Souvenirs attention danger...

 

Le Pen, remet l'uniforme au placard

Le Pen, la mode n'est plus aux chemises noires

Le Pen, Vichy est une vieille histoire

Le Pen, y a autour de toi des fantômes

Le Pen, qui entassaient au vélodrome

Le Pen, des hommes, des femmes et des mômes

En Algérie on t'appelait la vache qui rie

On te surnommait aussi Laval qui rie (3)

Wagner reste ton musicien favori

Toi le sous-lieutenant Jean-Marie

Menhir retaillé par Arno Breker (4)

Ton parti pris n'est pas celui d'Edouard Leclerc

Les européennes t'ont fait député

Souvenirs attention danger...

 

Le Pen, les marches au pas cadencé

Le Pen, Maintenant tout ça c'est du passé

Le Pen, je dirais même du Reichhhauffé

Le Pen n'ameute pas la vieille garde

Le Pen ne nous joue pas les Lagaillarde (5)

Le Pen tu roules en voiture à cocarde

La proportionnelle bientôt légalisée Fera de toi l'arbitre de l'Assemblée

A c'la Francois Mitt'rand n'est pas étranger

Souvenirs attention danger...

 

Paroles : Bernard Mabille

Pastiche de "Souvenirs attention danger" par Serge Lama.

Gégène : torture par décharge électrique

(1) Bertha : célèbre canon utilisé par les Allemands pendant la première guerre mondiale (Bertha était la fille de l’industriel Krupp)

(2) Pierre Laval : membre du gouvernement de Vichy sous l'occupation nazie en France. Homonymie avec "La Walkyrie", opéra de Richard Wagner(antisémite notoire).

(3) Arno Breker : Sculpteur officiel du parti nazi

(4) Pierre Lagaillarde : membre fondateur de l'OAS

(5) Cette chanson a valu un procès à Thierry Le Luron par Jean-Marie Le Pen. Il a été débouté.

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Les nouveaux outils de la discipline budgétaire européenne

Publié le 15 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans International

 

Les ministres des Finances de l'UE se sont mis d'accord mardi pour renforcer nettement leur discipline budgétaire commune, avec de nouvelles sanctions financières susceptibles d'être infligées plus tôt, pour les seuls pays de la zone euro à ce stade.

Voici les principaux points du dispositif, qui doit maintenant être négocié avec le Parlement européen, en vue d'un accord définitif en juin.

 

UNE INCITATION AU CONTROLE DES DEPENSES

La réforme prévoit que l'augmentation des dépenses d'un pays ne doit pas être plus rapide que son taux de croissance à moyen terme. Si le déficit d'un Etat est sur une pente trop ascendante et qu'il dépense trop, il pourra faire l'objet d'un rappel à l'ordre puis de sanctions.

 

UNE PRISE EN COMPTE DE LA DETTE

La réforme prévoit de mieux prendre en compte le critère de la dette, en sanctionnant désormais les pays qui dépassent le seuil de dette autorisé de 60% du PIB et qui ne la réduisent pas suffisamment vite.

Ces pays devront réduire leur dette à un rythme de 1/20e de l'écart entre leur dette et le seuil de 60% par an pendant trois ans.

S'ils ne le font pas, ils s'exposeront à l'ouverture d'une procédure, comme c'est le cas quand ils dépassent les 3% de déficit. D'autres "facteurs pertinents" seront pris en compte, comme l'impact de la dette privée ou des réformes des retraites sur les finances publiques.

 

DES SANCTIONS PLUS RAPIDES ET PLUS AUTOMATIQUES

Une nouvelle série de sanctions financières sera introduite pour les pays de la zone euro qui ne respectent pas les critères de déficit, de dette ou de dépense, sous forme de dépôts bancaires bloqués pouvant être transformés en amendes.

Ces sanctions s'appliqueront plus tôt dans la procédure, et de manière plus automatique.

Un dépôt ne portant pas intérêt, équivalant à 0,2% du PIB, pourra être imposé dès qu'il aura été décidé de soumettre un pays à une procédure. Si la recommandation des Etats demandant de corriger le déficit n'est pas respectée, une amende sera imposée.

 

Les pays rappelés à l'ordre auront cependant six mois pour décider de mesures correctives, avant de voir les sanctions s'appliquer.

Afin que les sanctions interviennent de façon assez automatique, elles s'appliqueront sauf si elle sont rejetées par une majorité qualifiée des Etats (règle dite de la "majorité inversée").

 

LES POLITIQUES ECONOMIQUES DANS LE COLLIMATEUR

Les sanctions pourront désormais aussi concerner des pays menant des politiques économiques considérées comme dangereuses pour la zone euro.

Un mécanisme de "surveillance macro-économique" sera mis en place. La Commission européenne passera au crible chaque année la santé économique générale de tous les pays de l'UE, sur la base d'une série d'indicateurs précis.

Si un pays est jugé sur la mauvaise pente, parce que s'y développe une bulle immobilière par exemple ou que sa compétitivité chute, il fera l'objet d'un rappel à l'ordre public, de recommandations, d'inspections si nécessaire, puis enfin de sanctions pour les seuls Etats de la zone euro, sous la forme d'une amende annuelle de 0,1% du PIB.

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Les principales mesures de la loi sur l'immigration

Publié le 15 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans Action présidentielle et gouvernementale

 

Voici les principales mesures du projet de loi sur l'immigration adopté mardi en deuxième lecture par l'Assemblée nationale et qui doit être encore soumis au Sénat:

 

CREATION DE ZONES D'ATTENTE SPECIALES

Des zones d'attente spéciales, à l'instar de celles existant dans les aéroports, seront créées pour faire face à l'arrivée "d'un groupe d'au moins dix étrangers en dehors d'un point de passage frontalier en un même lieu ou sur un ensemble de lieux distants d'au plus dix kilomètres".

 

ENCADREMENT CARTE DE SEJOUR "ETRANGER MALADE"

L'attribution d'une carte de séjour en raison de l'état de santé est modifiée pour annuler une décision du Conseil d'Etat d'avril 2010 qui avait donné une interprétation plus large de la notion d'accès aux soins.

 

AUGMENTATION DE LA DUREE MAXIMALE DE RETENTION

Afin de permettre l'obtention de laissez-passer consulaires, la durée de la rétention administrative passe de 32 à 45 jours maximum. Dans les pays de l'UE, une directive communautaire a fixé la durée maximale de la rétention à six mois.

 

REFORME DU CONTENTIEUX DE L'ELOIGNEMENT DES SANS-PAPIERS

En cas de recours contre une OQTF (obligation de quitter le territoire français), le juge administratif se prononcera avant le juge des libertés et de la détention (JLD). La saisine de ce dernier est portée à cinq jours, au lieu de deux actuellement.

 

ABUS DU COURT SEJOUR

Un ressortissant européen pourra faire l'objet d'une mesure d'éloignement en cas d'"abus d'un court séjour" (moins de trois mois) lorsqu'il multiplie des allers-retours "dans le but de se maintenir sur le territoire" ou s'il constitue "une charge déraisonnable pour le système d'assistance sociale".

 

EXPULSION EN CAS DE VOLS REPETES OU DE MENDICITE AGRESSIVE

Un étranger, européen ou non, présent depuis plus de trois mois, mais moins de trois ans, pourra être reconduit à la frontière en cas de "menaces à l'ordre public" notamment pour des infractions de vols, de mendicité agressive ou encore dans le cas d'occupation illégale d'un terrain public ou privé.

 

CREATION D'UNE INTERDICTION DE RETOUR

Obligation, sauf raison humanitaire, de notifier une interdiction de retour sur le territoire français à un étranger qui s'y est maintenu au-delà du délai de départ volontaire, d'une durée comprise entre deux et cinq ans.

 

PENALISATION DES MARIAGES GRIS

Les "mariages gris", fondés sur une tromperie volontaire, seront sanctionnés par 7 ans de prison et 30.000 euros d'amende.

 

CARTE BLEUE EUROPEENNE

Un permis de séjour temporaire européen peut être accordé aux travailleurs "hautement qualifiés", bac+3 ou cinq ans d'expérience professionnelle, qui justifient d'un contrat ou d'une promesse d'embauche pour au moins un an.

 

SIGNATURE D'UNE CHARTE DES CITOYENS LORS DE L'ACCES A LA NATIONALITE

L'accès à la nationalité est conditionnée à la signature d'"une charte des droits et devoirs et du citoyen". Les candidats à la naturalisation devront suivre un cours d'intégration, sanctionné par un examen, dont les modalités seront fixées par décret.

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Réunion Publique de Martine Tison

Publié le 15 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP Guingamp

Affiche-1-mini-copie-1.jpgLes habitants de Maël-Carhaix, Le Moustoir, Locarn, Paule, Plévin, Trébrivan, Treffrin et Tréogan sont invités à assister à la réunion publique de Martine Tison, candidate aux élections cantonales des 20 et 27 Mars prochains. Cette réunion se déroulera le

Mercredi 16 Mars à 20h30

à la Salle Polyvalente de Maël-Carhaix

(12 Rue de Rostrenen)

Martine Tison sera accompagnée d'Hervé Guélou, Conseiller Régional de Bretagne, ainsi que d'élus et de cadres locaux. Martine Tison présentera son projet et débattra avec les habitants.

Un verre de l'amitié sera offert à la fin de la soirée.

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Justice: les principales propositions du PS

Publié le 14 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans Point de Repère

 

Défense du juge d'instruction, suppression de la Cour de justice de la République, abrogation des peines de sûreté et des peines plancher...: Martine Aubry a présenté lundi les propositions de son parti "pour une justice respectée, indépendante, efficace et protectrice".

 

I. Réaffirmer l'indépendance de la justice

. Modification des règles de nomination des membres du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) avec notamment approbation par une majorité des 3/5e des commissions des Lois de l'Assemblée et du Sénat

. Avis conforme du CSM sur toutes les nominations des magistrats du parquet

. Interdiction de donner des instructions aux procureurs dans les dossiers individuels

. Après dix ans d'exercice, les magistrats devront choisir entre le siège et le parquet

. Maintien du juge d'instruction pour les affaires les plus importantes

. "A terme, nous mettrons en oeuvre la collégialité de l'instruction"

. Elargir les compétences du juge des libertés et de la détention

. Nomination des membres du Conseil constitutionnel à la majorité des 3/5e du Parlement

. Suppression de la Cour de justice de la République

 

II. Restaurer le service public de la justice

. "La revalorisation de l'aide juridictionnelle sera une priorité"

. Création de pôles de proximité, "répartis sur le maillage des tribunaux d'instance

. Réforme de la justice prud'homale

. Introduction de l'action de groupe pour renforcer les droits d'individus face à la puissance des groupes industriels

 

III. Protéger les droits et les libertés

. Abrogation de la rétention de sûreté et des peines planchers

. Prévention de la récidive avec sanction rapide de la première infraction

. Développement des travaux d'intérêt général

. Motivation des décisions des cours d'assises

. Pour les mineurs: primauté de l'éducatif sur le répressif prévue par l'ordonnance du 2 février 1945

. Création des délégués du juge pour enfants

. Limiter la garde à vue aux infractions passibles d'une peine minimum de trois ans d'emprisonnement ou au cas de flagrance

. Renouvellement de la garde à vue décidée par un juge du siège

. Prisons: cellule individuelle, plan pluriannuel de réhabilitation, plan de santé publique pénitentiaire, politique d'aménagement de peine

 

IV. Une Europe de la Justice contre la grande criminalité et pour protéger les droits des citoyens

. Mise en place du parquet européen prévu par le traité de Lisbonne pour la protection des intérêts financiers de l'Union

. Levée des secrets qui sont opposés aux investigations financières

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Twitter en dates, chiffres et mots-clés

Publié le 14 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans Point de Repère

 

Twitter.jpgIl y a cinq ans Twitter naissait. Voici les étapes et chiffres marquants du service de microblogs aux plus de 200 millions d'utilisateurs et 140 millions de messages quotidiens.

 

-          Premier message: "en train d'installer mon twttr". Signé Jack, actuel président du conseil d'administration Jack Dorsey, le 21 mars 2006.

-          En 2010, Twitter a diffusé 25 milliards de messages et gagné plus de 100 millions de nouveaux utilisateurs.

-          La chanteuse Lady Gaga (@ladygaga) est l'internaute dont les messages sont les plus suivis, avec 8,78 millions d'abonnés, suivie du crooner adolescent Justin Bieber (@justinbieber, 8,13 millions d'abonnés), de la chanteuse Britney Spears (@britneyspears, 7,12 millions) et du président Barack Obama (@barackobama, 6,97 millions).

-          L'acteur Charlie Sheen (@charliesheen), tout juste renvoyé de la série télévisée "Mon Oncle Charlie", a été le plus rapide à atteindre un million d'abonnés, en 24 heures entre le 1er et le 2 mars.

-          Le symbole des mots clés (#), permettant de retrouver une série de messages par sujet, a été lancé en août 2007, sur proposition d'un internaute.

-          Depuis octobre 2009, les moteurs de recherche Google et Bing (Microsoft) intègrent des messages de Twitter.

-          Twitter a plus de 370 employés et embauche presque toutes les semaines. Le siège est à San Francisco, avec des bureaux à New York, Chicago, Los Angeles et Washington.

-          Les statuts ont été déposés en avril 2007 par les cofondateurs Biz Stone, Evan Williams et Jack Dorsey, qui signent @biz, @ev et @jack.

-          Le directeur général Dick Costolo était autrefois comédien d'improvisation.

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La discrimination à l'adresse, phénomène difficile à quantifier et prouver

Publié le 14 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans Point de Repère

 

La discrimination par le lieu de résidence, qui frappe des jeunes de banlieue, est un phénomène reconnu par des associations et des élus, mais absent du code pénal et difficile à quantifier.

La commune de Dammarie-lès-Lys, en Seine-et-Marne, a engagé une campagne de changement d'adresse d'un de ses quartiers pour lutter contre ce phénomène. En 2009, la Courneuve, en pointe dans ce combat, s'était retournée vers la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité).

Selon un récent sondage CSA pour cette commune de Seine-Saint-Denis, 58% des Français estiment que la discrimination par le lieu de résidence est répandue.

En 2009, le taux de chômage pour les jeunes hommes atteignait en moyenne 43% dans les Zones urbaines sensibles (Zus), et 37% pour les jeunes femmes, selon l'Observatoire national des Zus.

En juillet, Eric Besson, alors ministre de l'Immigration, avait déclaré vouloir "étudier l'introduction du lieu de résidence dans les critères de discrimination définis dans la loi du 16 novembre 2001". Un amendement au projet de loi sur l'immigration avait même été évoqué.

En juillet dernier, le Centre d'études de l'emploi notait "un effet spécifique et important du lieu de résidence sur l'accès à l'emploi", alors qu'en 2008, le Conseil économique et social relevait que "les discriminations en fonction de l'adresse d'un candidat sont une réalité".

Saisie en mai 2009 de la plainte de La Courneuve, la Halde a organisé depuis l'été plusieurs groupes de travail sur le sujet.

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Le parc nucléaire français, le deuxième au monde avec 58 réacteurs

Publié le 13 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans Point de Repère

 

Le parc nucléaire français, le deuxième au monde, compte 58 réacteurs répartis sur 19 sites, et fournit environ 75% de l'électricité du pays.

Parmi les 58 réacteurs gérés par EDF, on en compte 34 de 900 mégawatts (MW) -- chacun produit en moyenne chaque mois de quoi fournir de l'électricité à environ 500.000 foyers--, 20 de 1.300 MW et 4 de 1.500 MW, selon le ministère de l'Ecologie.

La France est la deuxième puissance électro-nucléaire au monde derrière les États-Unis.

Les premiers réacteurs ont été mis en service dans les années 1970 et la plus ancienne centrale est celle de Fessenheim (Haut-Rhin). Mais la plupart des centrales l'ont été dans les années 80 comme Gravelines (Nord) 1980-85, Flamanville (Manche) ou encore Cattenom (Moselle) 1987-92.

Les plus récentes sont Chooz (Ardennes) en 2000 et Civaux (Vienne) en 2002.

Actuellement, un réacteur EPR de troisième génération, le premier en France, est en construction à Flamanville.

Depuis le début du nucléaire civil en France, la production nucléaire est passée de 15 TWh (térawatts) en 1973 à 519 TWh en 2009, selon EDF, devenant ainsi la première source de production d'électricité au détriment de la production thermique classique.

Par ailleurs, neuf centrales de première génération, mises en service entre 1963 et 1986, sont aujourd'hui à l'arrêt et en cours de déconstruction.

EDF, qui estime la durée de vie de ces centrales à au moins 40 ans, considère que les premières devront être renouvelées vers 2020.

Le réseau Sortir du nucléaire, qui revendique plus de 700 associations membres, estime que le parc français est "vieillissant" et dénonce "une inévitable dégradation de la sûreté".

La France compte également un géant de l'industriel nucléaire mondiale, Areva, crée en septembre 2001, et dont les activités s'étendent de l'extraction d'uranium au traitement des déchets en passant par la conception des réacteurs.

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La nouvelle stratégie de l'Europe pour aider l'Afrique du Nord

Publié le 11 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans International

 

Voici les principaux points de la nouvelle stratégie que compte adopter vendredi l'Union européenne lors d'un sommet pour aider les pays de la rive Sud de la Méditerranée à bâtir des régimes démocratiques.

 

NOUVELLES PRIORITES

Accusée jusqu'ici d'avoir été trop complaisante avec les régimes autoritaires, la nouvelle politique est basée sur une proposition de "partenariat pour la démocratie et la prospérité partagée" élaborée par la Commission européenne. Les 27 veulent soutenir les réformes démocratiques et socio-économiques dans la région, encourager le commerce et la croissance partagée.

Concrètement le projet propose d'offrir aux voisins de l'UE des avantages commerciaux supplémentaires --notamment pour les produits agricoles et de la pêche, au risque de susciter des résistances en France ou en Espagne--, d'établir une "communauté de l'énergie" euro-méditerranéenne, et aussi d'encourager la mobilité légale en échange d'une lutte plus efficace contre l'immigration illégale.

A ce propos les 27 veulent d'ici à juin élaborer des propositions de gestion des flux de migrants et de réfugiés.

 

UNE AIDE CONDITIONNELLE

L'UE veut distribuer ses aides "en fonction des résultats", récompenser les pays engagés sur la voie des réformes, quitte aussi "à retirer son soutien" quand les engagements ne sont pas tenus.

De même, l'approfondissement des relations commerciales devrait être lui aussi lié aux réformes politiques et économiques. L'UE a déjà des accords de libre échange avec tous ses voisins méditerranéens, à l'exception de la Libye et de la Syrie.

 

L'UNION POUR LA MEDITERRANEE

Chère à Paris qui a poussé à sa création en 2008, elle est restée paralysée du fait du conflit israélo-palestinien. Les 27 ont décidé de "tirer les leçons" du passé, de "revoir ses missions" dans le but d'encourager la démocratie et la stabilité et à ces fins d'"envisager de donner un nouvel élan" à des projets concrets.

 

MOYENS FINANCIERS

Quatre milliards d'euros de fonds européens sont programmés entre 2011 et 2013 en faveur de la région. L'UE a souligné vendredi que son aide doit être coordonnée avec les "grands donateurs internationaux".

La Commission a proposé aux 27 de porter l'enveloppe de prêts de la Banque européenne d'investissement (BEI) de 5 milliards à près de 6 milliards d'euros à la région dans les trois ans à venir. Ils ont accepté d'étudier une augmentation de l'enveloppe, sans en préciser le montant.

Les 27 ont aussi accepté d'envisager un élargissement de la zone d'intervention de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd, jusqu'ici essentiellement active dans l'est de l'Europe), au sud de la Méditerranée. Elle serait en mesure d'accorder à la région près d'un milliard d'euros par an.

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Zone euro: le "pacte pour l'euro" pour renforcer la compétitivité

Publié le 11 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans International

 

Voici les principaux points du "pacte pour l'euro" adopté sur le principe vendredi par les dirigeants de l'Union monétaire, en vue de renforcer la compétitivité et la convergence des politiques économiques et d'éviter de nouvelles crises de la dette.

 

- UN SYSTEME A LA CARTE

Selon le texte qui a fait l'objet d'un accord de principe, obtenu par l'AFP, le futur dispositif concerne les pays de la zone euro mais aussi les pays de l'Union européenne n'utilisant pas la monnaie unique, "sur une base volontaire".

"Les Etats membres qui participeront poursuivront les objectifs avec leur propre +policy-mix+" (dosage entre les différentes politiques), indique le texte. Les chefs d'Etat et de gouvernement concernés se fixeront chaque année des objectifs à remplir dans les douze mois et évalueront les résultat sur la base d'un rapport de la Commission européenne. Mais "le choix des actions politiques spécifiques nécessaires (...) reste de la responsabilité de chaque pays".

 

- SALAIRES

Le pacte souligne que les pays devront "garantir" que "l'établissement des salaires dans le secteur public soutient les efforts de compétitivité dans le secteur privé", ce qui revient à garantir une modération salariale.

Pour éviter des dérapage entamant la compétitivité, "les unités de coût salarial seront surveillées sur une période donnée" en les comparant avec d'autres Etats. Et ce par secteur (industrie et services). Les salaires devront évoluer "en ligne avec la productivité". Le texte ne parle pas de suppression de l'indexation des salaires sur les prix mais estime que de tels mécanismes devront être "réexaminés" là "où cela est nécessaire".

 

- EMPLOI

Des réformes des marchés du travail devront être menées, pour rendre l'emploi plus attractif et pour faire mieux correspondre l'offre et la demande. Des réformes fiscales sont encouragées, telles qu'une "baisse de l'imposition du travail".

 

- RETRAITE

Le projet stipule que les pays devront veiller "à la soutenabilité des systèmes de retraites, de soins et de prestations sociales". Les réformes "pourraient inclure" un "alignement des systèmes de retraite avec la situation démographique nationale, par exemple en alignant l'âge de la retraite avec l'espérance de vie".

 

- FINANCES PUBLIQUES

Les pays sont invités à adopter des mécanismes de "frein à la dette", les obligeant à prendre des mesures pour la réduire lorsqu'un seuil trop important est atteint. Mais ils pourront choisir le moyen d'y parvenir. "Les Etats membres conserveront le choix du véhicule juridique national qui doit être utilisé".

 

- FISCALITE

Le pacte promeut un rapprochement des politiques nationales. "Développer une assiette fiscale commune pour l'impôt sur les sociétés pourrait" être un "moyen d'avancer afin de garantir la cohérence des systèmes fiscaux nationaux, tout en respectant les stratégies fiscales nationales".

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Récidive et application des peines: Copé fait des propositions pour 2012

Publié le 9 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP

Jean-François Copé a fait mardi des propositions sur l'application des peines et la récidive pour le prochain quinquennat, notamment celles de confier au "procureur l'entière responsabilité de l'exécution des peines" et d'introduire des travaux d'intérêt général "dès l'âge de 14 ans".

"Celui qui est condamné doit exécuter sa peine", a déclaré le secrétaire général, lors d'une convention UMP à Paris, quelques semaines après la polémique déclenchée par l'affaire Laetitia, une jeune fille assassinée en Loire-Atlantique.

"La question centrale de l'application des peines et de la récidive est un chantier prioritaire" et "actuellement les règles du jeu ne sont pas claires", a fait valoir le député-maire de Meaux, en proposant de redéfinir les rôles et les responsabilités des différents magistrats du parquet et du siège.

"L'entière responsabilité de l'exécution des peines, y compris les aménagements de peines", pourrait ainsi être "confiée au procureur (parquet)", le juge d'application des peines (JAP, siège) étant chargé d'assurer le suivi des détenus en cours de peine et "d'arbitrer les contentieux entre le parquet et le condamné", a précisé M. Copé.

Autres propositions: la "création d'un bureau national d'exécution des peines" et la mise en place d"un "dossier judiciaire unique" pour assurer un suivi "tout au long de la chaine judiciaire", de l'interpellation à la fin de la peine.

Il préconise aussi "la suppression de l'automaticité de la réduction des peines et de la possibilité de libération conditionnelle avant que les deux tiers de la peine prononcée n'aient été exécutés".

L'UMP a par ailleurs repris dans ses propositions - destinées à nourrir le projet présidentiel de 2012 - l'idée de Nicolas Sarkozy d'associer au JAP des "jurés populaires", c'est-à-dire des citoyens tirés au sort sur les listes électorales, pour les décisions de "libération conditionnelle" dans les cas de condamnation (en première instance ou en appel) "à 10 ans de prison et plus".

S'agissant des peines alternatives, M. Copé a évoqué les travaux d'intérêt général (TIG), à appliquer "dès l'âge de 14 ans" avec une autorisation parentale.

Concernant la récidive, il plaide pour la mise en place "d'outils statistiques par l'Académie de médecine" s'appuyant sur "le passé criminel".

Il suggère en outre que le seuil à partir duquel la rétention et la surveillance de sûreté peuvent être prononcées, soit fixé à "10 ans" contre 15 actuellement, et une augmentation le nombre de places de prison disponibles de 20.000 entre 2012 et 2017.

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Jeudi Noir : la supercherie enfin dévoilée !

Publié le 4 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP Guingamp

Enfin la véritable nature des membres du pseudo collectif « Jeudi Noir » est démasquée.

Ces découvertes ressemblent beaucoup à celles d’un autre collectif, expert en manipulation d’opinions et en coup d’éclat médiatique, et à la face cachée peu louable, l’association MACAQ.

Rappelons que cette dernière, qui bénéficiait de subventions de plusieurs collectivités locales de gauche, allait jusqu’à sous louer (notamment à des maisons de production)  des appartements dans des immeubles qu’ils occupaient illégalement et avec violence.

Le groupe Jeudi Noir, dont il faut rappeler que les membres appartiennent pour la plupart à Europe Ecologie les Verts et au Front de Gauche n’est donc qu’une mascarade et une escroquerie.

Ces soi-disant précaires sont en réalité des fonctionnaires territoriaux, des assistants parlementaires, directeurs de cabinets, chargés de mission ou encore… journalistes, et sont donc tout sauf des mal-logés mais bien des professionnels de la manipulation médiatique.

Pouvons-nous espérer que ces deux révélations coup sur coup mettront en garde les (vrais) journalistes avant de présenter de nouveaux collectifs et des coups montés de toutes pièces réalisés par des collectifs de dissimulateurs ?

rappelons enfin à ceux qui s’intéressent sincèrement au problème du logement en France, que toutes les dénonciations et tous les squats possibles ne feront pas avancer d’un cheveu la résolution de ces problèmes

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Une fois de plus, Cécile Duflot et ses verts s'enfoncent dans l'indignité !

Publié le 4 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP Guingamp

Les candidats bretons aux élections cantonales accueillent demain samedi en Bretagne leur leader, Madame Duflot, venue les soutenir.

Au-delà du fait qu'elle ait traité Jean-Yves Le Drian d'"escroc", ce qui laisse entrevoir la nature véritable des relations entretenues entre les verts et les socialistes, elle maintient son soutien, et celui des candidats d’Europe Ecologie à l'association France Nature Environnement qui a sorti une série d'affiches incriminant les agriculteurs dans de nombreuses catastrophes écologiques.  

On voit ainsi un homme avec un épi de maïs OGM sur la tempe, prêt à se suicider, ou encore un enfant jouer sur une plage recouverte d'algues vertes et présentée comme « représentative » de la situation prévalant en Bretagne.

Et Madame Duflot enfonce le clou encore : "il suffit d'aller se promener sur les plages de la côte nord de la Bretagne pour constater que c'est une réalité qu'on ne peut se baigner".

Outre la dénonciation calomnieuse de l'agriculture comme principale cause de tous les maux environnementaux, on ne peut que déplorer le mensonge véhiculé par une dirigeante politique qui se veut "responsable" et qui tient des propos qui ne le sont pas !

Quel sera l'impact des déclarations de Madame Duflot et de tous ses candidats aux élections cantonales qui relaient constamment son message ? Car ce qui ressort de cette campagne, et des déclarations multiples dans la presse, c’est que les agriculteurs sont à l'origine de nos problèmes et que la Bretagne est une terre sinistrée par la pollution, où il ne faut pas aller si nous voulons protéger nos enfants.

Comment les investisseurs industriels, les consommateurs des produits de l'agro-alimentaire, ou les touristes -français et étrangers- entendront-ils ces messages ? Et que ferons-nous le jour où ils tourneront le dos à la Bretagne car ils auront été intoxiqués par de tels propos et de telles campagnes de désinformation ?

Nous demandons solennellement à tous les candidats Europe Ecologie les Verts de se désolidariser de Madame Duflot et de clarifier leurs positions sur ces sujets, si sensibles dans notre secteur.

 

Philippe Le Roux

Délégué de la circonscription de Guingamp

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Martine TISON candidate aux élections cantonales à Maël-Carhaix

Publié le 2 Mars 2011 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonscriptio dans UMP Guingamp

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