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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

Il y a urgence absolue à reporter sine die l'écotaxe

Publié le 30 Octobre 2013 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Le reniement - c'est maintenant !

Il y a urgence absolue à reporter sine die l'écotaxe, pour toute la France et pas seulement en Bretagne où elle rencontre une hostilité grandissante.

Ce qui se passe en Bretagne, en réalité, se passe dans toute la France. Ainsi, nous entendons beaucoup d'appels de détresse de la part de petites entreprises disant "crouler sous les charges".

Lorsque l'écotaxe a été votée par la droite (et adoptée unanimement par la droite et la gauche) c'était un autre contexte : en dix-huit mois, la gauche a annulé la défiscalisation des heures supplémentaires, toute notre politique économique et sa dynamique.

Alors que Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, a affirmé lundi que l'annulation de l'écotaxe obligerait l'Etat à dédommager Ecomouv', la société chargée de la mettre en œuvre, à hauteur de 800 millions d'euros ; nous dénonçons ce coût de gestion absolument délirant.

L'UMP préconise d'autres solutions pour lutter contre la pollution : baissons d'autres impôts, faisons des allègements de charges. Le problème est que cette écotaxe, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Elle vient s'ajouter à 55 milliards d'euros d'augmentation d'impôt en deux ans. Ça fera ça à la fin de 2014. Quelle est l'économie moderne qui peut tenir le choc face à des contraintes pareille ?

Il y a d'autres manières de gouverner un grand pays. Il faut baisser les dépenses publiques inutiles, il faut faire des économies... Il faut un pacte fiscal avec les Français dans lequel nous leur disons que nous nous engageons à deux choses: la baisse massive des impôts contre des baisses de dépenses publiques inutiles, la stabilité fiscale.

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L'UMP veut réformer le droit du sol

Publié le 22 Octobre 2013 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans UMP

L'UMP présentera d'ici à la fin de l'année une proposition de loi visant à réformer le droit du sol et prévoyant la fin de l'acquisition automatique de la nationalité pour les enfants nés en France de parents étrangers.

Le comité politique du parti a adopté aujourd'hui "à l'unanimité" un "plan pour une nouvelle politique de l'immigration". Cette question fera l'objet d'"une convention de l'UMP d'ici à la fin de l'année qui sera suivie, juste après, d'une proposition de loi.

Il ne s'agit pas de remettre en cause le droit du sol. Mais quand on est né en France de parents étrangers en situation irrégulière, on n'a pas vocation à y rester et il n'est pas possible d'obtenir la nationalité française. Les enfants nés de parents étrangers en situation régulière ne peuvent pas obtenir la nationalité française de manière automatique. Ils doivent en faire la demande.

Le nouveau modèle de cette politique reposerait sur quatre piliers.

Il faut complètement réorganiser Schengen et en exclure les pays ne contrôlant pas leurs frontières. Sinon, c'est la politique de la chaise vide pour la France.

Il faut également une lutte sans faille contre l'immigration illégale qui est aujourd'hui adossée sur des filières mafieuses extrêmement bien infiltrées en France et soutenues par des associations aux influences gauchistes ou anarchistes.

Il faut que la France cesse d'être le pays le plus attractif socialement en Europe pour les immigrés, ce qui implique la suppression de l'AME [Aide médicale d'Etat], sauf cas d'urgence,

 Il faut que la CMU [Couverture maladie universelle] et le RSA ne puissent être obtenus qu'après un certain nombre d'années de cotisation.

Il s'agit ici de réussir l'assimilation de ceux qui sont en France, en luttant pour la laïcité et contre le communautarisme.

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Les députés Front de gauche annoncent qu'ils voteront contre le budget

Publié le 15 Octobre 2013 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Le reniement - c'est maintenant !

Les députés Front de gauche, qui s'étaient abstenus l'année dernière, ont annoncé qu'ils voteraient contre le projet de budget 2014, débattu à partir de mardi à l'Assemblée.

"C'est un très mauvais budget", a expliqué lors d'une conférence de presse leur chef de file sur ce thème, Nicolas Sensu. "En l'état actuel, nous voterons contre", a ajouté ce membre de la commission des Finances, en dénonçant en particulier la mise en oeuvre du Crédit impôt compétitivité emploi (CICE).

"L'annonce du CICE en novembre 2012 a été une rupture de la ligne fiscale du gouvernement. On est dans le dogme de la la baisse du coût du travail", a-t-il dénoncé.

Face au débat sur le ras-le-bol fiscal, les députés FG ont déposé une série d'amendements pour "réhabiliter l'impôt" et le rendre "plus juste".

"Aujourd'hui les impôts sont injustes parce qu'ils ne sont pas progressifs. Face à la révolte antifiscale qui gronde dans les couches modestes et moyennes, la seule réponse c'est la révolution fiscale", a estimé M. Sensu, regrettant que les "forces régressives soient en train de gagner la bataille idéologique" sur la fiscalité et la baisse des dépenses publiques.

Le Front de gauche propose notamment un "impôt sur les sociétés progressif pour que les PME ne soient pas traitées comme les grands groupes" et pour les particuliers la création d'une nouvelle tranche de l'impôt sur le revenu à 50%.

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