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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

point de repere

Efforts budgétaires: la rigueur va durer longtemps et les plus modestes paieront la note

Publié le 3 Juillet 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Les efforts budgétaires nécessaires que mèneront les socialistes annoncent une "rigueur qui va durer longtemps" car ils se feront "au détriment de la compétitivité", a estimé mardi l'ancien ministre UMP du Budget, Eric Woerth.

"En ce qui concerne la gauche, c'est même de l'extrême rigueur. Parce que l'extrême rigueur, c'est la rigueur sans la compétitivité. C'est-à-dire, c'est la rigueur durable. C'est de la rigueur qui va durer longtemps", a déclaré M. Woerth.

"Si vous ne baissez pas le coût du travail pour essayer de faire en sorte que le travail reste en France, et que la croissance soit là le moment venu, c'est évidemment une rigueur qui s'installe pour longtemps", a-t-il ajouté.

"La vraie justice, c'est la compétitivité, c'est amener le pays vers un destin et vers un avenir économique avec de l'emploi, et ça, c'est pas du tout ce qui est aujourd'hui inscrit au moins dans les premières mesures de M. Hollande", a-t-il souligné.

Le gouvernement, en s'engageant d'autre part à augmenter "puissamment" le nombre des fonctionnaires en particulier dans l'Éducation nationale, va "devoir baisser très, très puissamment le nombre de fonctionnaires ailleurs", a estimé aussi l'ancien ministre.

Le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, a affirmé mardi que les Français "les plus modestes" allaient être "les premiers à payer la note" des mesures du gouvernement Ayrault.

À quelques heures de la déclaration de politique générale du Premier ministre Jean-Marc Ayrault, le député de Seine-et-Marne a dit, lors de son point presse hebdomadaire, attendre une "opération vérité".

"J'attends qu'il nous explique comment il finance les 20 milliards d'annonces faites en six semaines comme on craque une allumette", a-t-il lancé en jugeant que l'heure n'était plus aux "écrans de fumée" comme "la baisse de rémunération des ministres".

Car selon lui, le gouvernement va "baisser le pouvoir d'achat des Français les plus modestes, les ouvriers, les salariés, les fonctionnaires de catégorie C", "les premiers à payer la note" avec "la suppression des heures supplémentaires", "l'augmentation des cotisations vieillesse", "la suppression de la TVA anti-délocalisations" et "l'augmentation de la CSG".

S'agissant des fonctionnaires, M. Jacob a assuré qu'il "y a des ministères qui vont découvrir qu'ils ne sont plus prioritaires aux yeux du gouvernement".

"Si on prend l'ensemble des effectifs dans la fonction publique d'Etat, l'Education plus la Justice plus l'Intérieur, ça fait à peu près les deux tiers. Ca veut donc dire que dans les autres secteurs, ça va être l'hécatombe, que ce soit l'Agriculture, l'Ecologie, la Culture, les Transports, les Sports, la Défense...", a poursuivi l'ex-ministre de la Fonction publique.

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Borloo interpelle Ayrault et ne votera pas la confiance au gouvernement

Publié le 3 Juillet 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le président des radicaux, Jean-Louis Borloo, a interpellé mardi le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, sur les salaires, les réductions de postes dans la fonction publique et la crise du secteur automobile, précisant qu'il ne voterait pas la confiance à son gouvernement.

Sur France Inter, l'ancien ministre a d'abord demandé : "Est-il vrai ou non qu'il y a un risque sur les salaires de la fonction publique? Ensuite, est-il exact qu'un certain nombre de ministères considérés comme non-prioritaires à ses yeux, c'est-à-dire pas la police, la justice et l'éducation, vont être amputés?"

Car, a-t-il souligné, "si je comprends bien, 60.000 créations de poste dans l'Éducation nationale, cela veut dire 60.000 destructions de postes dans les autres ministères puisqu'on sera à masse constante".

Enfin, sa dernière question concerne "un grand plan pour l'automobile". "Il faut absolument que le Premier ministre arrête cette rumeur de la fermeture du site d'Aulnay-Sous-Bois (groupe PSA, ndlr) qui, non seulement ne doit pas fermer, mais doit être réindustrialisé", a expliqué le député du Nord. "Sa fermeture serait une catastrophe industrielle et sociale aux répercussions considérables".

Quant au groupe centriste UDI qu'il préside, M. Borloo a indiqué qu'il ne voterait pas la confiance après la déclaration de politique générale de M. Ayrault.

"Nous sommes dans l'opposition et le principe est plutôt de ne pas voter la confiance. Nous sommes en début de quinquennat et les questions que je viens de poser sont lourdes, très lourdes", a-t-il expliqué tout en rendant hommage à la personnalité du Premier ministre. "C'est un républicain respectable. Il a toujours été extrêmement correct en tant que président du groupe socialiste. Nous n'avons pas à son égard de critiques personnelles, loin s'en faut".

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Les députés enfin placés de gauche à droite

Publié le 3 Juillet 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Les députés, qui étaient installés par ordre alphabétique lors de leur entrée en fonction la semaine dernière, trouvent mardi leur place définitive, les groupes politiques s'étant mis d'accord sur leur classement de gauche à droite.

La situation dans l'hémicycle, définie par rapport au fauteuil du président, le Perchoir, qui fait face aux députés, revêt une signification politique, mais aussi médiatique, l'objectif consistant à être le mieux placé par rapport aux caméras de télévision.

Parmi les non-inscrits, rattachés à aucun groupe, les deux élus du Front national, Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen, ainsi que Jacques Bompard, ancien de ce parti, siègent à l'extrême droite, alors que les six autres sont installés, en hauteur, au centre-droit.

Les 279 membres et 16 apparentés du groupe socialiste, républicain et citoyen (SRC), majoritaire, occupent une large moitié gauche de l'hémicycle. Ils laissent une partie des sièges les plus à gauche aux quinze membres du groupe de la Gauche démocrate et républicaine (GDR), qui regroupe le Front de gauche et des députés d'outremer.

Au centre-gauche, en hauteur, siègent les 15 radicaux de gauche et les 17 écologistes, et au centre-droit, également en hauteur, les 29 membres de l'UDI (Union des démocrates et indépendants) de Jean-Louis Borloo.

Le reste des travées, à droite, est occupé par les 185 membres et 11 apparentés du groupe UMP, le plus important de l'opposition.

Le placement des députés par ordre alphabétique, lors de la séance inaugurale de l'Assemblée nationale, le 26 juin, avant la constitution des groupes parlementaires, avait fait se côtoyer des adversaires politiques, le voisinage le plus remarqué étant celui de Jean-François Copé (UMP) et Gilbert Collard.

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Discours de politique générale: Copé attend un "mea culpa" des socialistes

Publié le 3 Juillet 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a déclaré attendre de Jean-Marc Ayrault, le Premier ministre, un "mea culpa" dans son discours de politique générale, les socialistes se trouvant maintenant "au pied du mur".

"J'en attends un mea culpa", a déclaré mardi sur BFMTV et RMC le responsable de l'UMP, auquel on demandait comment il envisageait le discours de M. Ayrault dans l'après-midi.

"Pendant six mois François Hollande et pendant cinq ans l'ensemble du Parti socialiste a dit tout le mal qu'il pensait de notre politique. Et voilà que maintenant, ils sont au pied du mur", a-t-il ajouté.

"Notre majorité (...), malgré les crises, a eu le courage de faire les réformes difficiles", a-t-il affirmé en citant notamment la réforme des retraites et la réduction du nombre des fonctionnaires.

M. Copé s'est félicité à ce propos du rapport de la Cour des comptes concernant le bilan de l'ancienne majorité gouvernementale, estimant que cela coupait court à des accusations socialistes.

"L'ardoise cachée, l'héritage de la droite, c'est loupé", a-t-il ironisé.

Jean-François Copé a indiqué qu'il poserait à l'Assemblée nationale, mercredi, ainsi que le président du groupe UMP, Christian Jacob, mardi après-midi, des "marqueurs très clairs" pour dénoncer la politique socialiste.

Interrogé sur l'élection du président de l'UMP à l'automne prochain, M. Copé a souligné qu'il s'agirait alors de "choisir celui qui va diriger notre opposition pendant trois ans, de 2012 à 2015, et donc de gagner les élections municipales de 2014. C'est ça le vrai enjeu de cette élection".

"Ce qui me paraît important, c'est qu'on ne se trompe pas de calendrier", a-t-il ajouté, en indiquant qu'il y aurait des "primaires en 2016" pour désigner le candidat de l'UMP pour l'élection présidentielle de 2017.

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Budget: le gouvernement dévoile mercredi son tour de vis de 7 à 10 mds EUR

Publié le 2 Juillet 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le gouvernement abat mercredi ses premières cartes budgétaires, avec un triple objectif: prendre acte d'une croissance en berne, concocter un nouveau tour de vis de 7 à 10 milliards d'euros, et imprimer sa marque fiscale, en annulant plusieurs réformes de Nicolas Sarkozy.

UNE CROISSANCE EN BERNE

Prenant acte de la dégradation de la conjoncture, le gouvernement va revoir à la baisse ses prévisions de croissance dans le "collectif budgétaire" présenté mercredi, qui doit corriger la loi de finances 2012.

Pour cette année, il tablera sur une croissance de 0,4% au mieux, soit moins que les 0,5% inscrits dans le projet de François Hollande ou les 0,7% escomptés par la majorité précédente. Pour 2013, il mise sur une fourchette de 1% à 1,3%, contre les 1,7% attendus jusqu'ici.

EN QUETE DE MILLIARDS

Conséquence de cette situation morose, et de certaines mesures prises par l'ancien gouvernement mais insuffisamment financées, il faut, selon la Cour des comptes, un effort supplémentaire de six à dix milliards d'euros pour que le déficit public soit ramené comme promis de 5,2% du produit intérieur brut (PIB) l'an dernier à 4,5% fin 2012.

Le gouvernement de François Fillon avait garanti qu'un troisième plan d'austérité, après ceux d'août et novembre derniers, ne serait pas nécessaire pour éviter un dérapage. Mais l'équipe du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a reconnu rechercher sept à dix milliards d'économies budgétaires ou recettes fiscales nouvelles. L'essentiel devrait venir de hausses d'impôts, mais un milliard d'euros de dépenses prévues seront également gelées.

DETRICOTAGE...

Bercy doit aussi imprimer la marque du président François Hollande. Sa réforme fiscale n'interviendra qu'à l'automne, avec une modulation de l'impôt sur les sociétés, le plafonnement des niches, une même imposition pour les revenus du capital et du travail, et le fameux taux de 75% sur la tranche de revenus supérieure à un million d'euros annuels. En attendant, il s'agira mercredi de défaire des mesures emblématiques du dernier quinquennat.

- La "TVA sociale" ou "antidélocalisations" : cette hausse de la TVA, liée à une baisse de cotisations patronales, a été adoptée in extremis par la précédente majorité mais sera abrogée avant même son entrée en vigueur prévue en octobre.

- L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF): le gouvernement Fillon l'avait allégé sensiblement il y a un an. Le gouvernement Ayrault, qui dénonce un "cadeau aux riches", va rétablir l'ancien barème, même si le seuil d'entrée, relevé en 2011 de 800.000 à 1,3 million d'euros de patrimoine, restera inchangé.

- La TVA sur le livre sera rétablie à 5,5% au lieu de 7%.

- Le "paquet fiscal" de 2007 : ce qui reste des mesures de la Loi pour le travail, l'emploi et le pouvoir d'achat (Tepa) voulue par Nicolas Sarkozy sera détricoté. Ainsi pour les successions, le montant pouvant être transmis en franchise d'impôt sera réduit de 159.000 à 100.000 euros par parent et par héritier, et le délai entre deux donations défiscalisées passera de dix à quinze ans. La défiscalisation des heures supplémentaires sera annulée, hormis l'exonération de cotisations sociales pour les entreprises de moins de vingt salariés. Bercy envisage aussi de ne pas verser les derniers remboursements dus au titre du bouclier fiscal, déjà supprimé l'an dernier.

... ET PREMIERES MESURES FISCALES

Une rafale d'autres mesures est prévue, la plupart issues du projet du candidat Hollande :

- Une taxe de 3% sur les dividendes versés aux actionnaires, censée encourager les entreprises à réinvestir leurs bénéfices (800 millions à un milliard d'euros de recettes nouvelles en année pleine).

- Une taxe sur le secteur pétrolier, qui pourrait prendre la forme d'une contribution de 4% sur les stocks (500 millions d'euros).

- Une contribution des banques, probablement via un doublement de la taxe sur les risques systémiques, actuellement à 0,25% des fonds propres exigés (500 millions d'euros supplémentaires.

- La taxe sur les transactions financières, sorte d'impôt de Bourse qui entrera en vigueur au 1er août, verra son taux relevé de 0,1% à 0,2%.

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Augmenter le Smic : une fausse bonne décision

Publié le 25 Juin 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Valérie Pécresse (UMP), ex-ministre du budget, a vu lundi dans le projet gouvernemental d'augmentation du Smic "une fausse bonne décision", mauvaise économiquement et potentiellement destructrice d'emplois.

Sur Europe 1, la députée des Yvelines a critiqué "une fausse bonne décision du gouvernement Hollande".

"C'est une mauvaise décision au plan économique et c'est faussement généreux parce que, au lieu d'augmenter le Smic comme nous l'avions proposé, c'est-à-dire en baissant les cotisations salariales, on va augmenter le Smic pour les entreprises et ça veut dire en réalité qu'il va détruire de l'emploi", a-t-elle assuré.

"Nous avions proposé une revalorisation du Smic qui était beaucoup plus intelligente économiquement, qui consistait à réintégrer les produits de nouvelles taxes dans le Smic et de faire baisser les charges salariales", a-t-elle détaillé. "C'est-à-dire que nous proposions une hausse de 70 euros du smic nets qui ne coûtait pas un euro aux entreprises". "2% d'augmentation du Smic, cela peut être la marge d'une PME", a-t-elle observé.

"Sous le quinquennat Sarkozy, on n'a pas augmenté le Smic au-delà de l'inflation, mais en revanche, il y avait de moins en moins de Français qui étaient au Smic, car les salaires ont continué d'augmenter", a déclaré l'ex-ministre.

Pour elle, ce salaire minimum, c'est "la barrière à l'entrée des jeunes sur le marché du travail".

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Décret sur les retraites : "Les conséquences financières de ce décret sont désastreuses"

Publié le 22 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Alors que notre pays a besoin de réformes de structure pour abaisser le poids de ses dépenses publiques, l’une des premières mesures de François Hollande consiste à revenir sur la réforme courageuse des retraites que nous avons votée en 2010.

Le Président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a eu parfaitement raison de dénoncer la méthode de François Hollande, qui préfère procéder par décret plutôt que de débattre au Parlement alors même qu’il s’agit d’un enjeu de premier ordre.

Ajoutons que les conséquences d’une telle décision seraient désastreuses pour nos finances publiques et qu’une nouvelle fois, les socialistes feront porter le poids de leur irresponsabilité aux classes moyennes de notre pays.

En effet, pendant sa campagne, François Hollande a annoncé qu’il financerait cette mesure en augmentant de 5% les cotisations "retraites" des employeurs et de 7% celles des salariés.

Concrètement, 5 milliards d’euros seront directement prélevés sur les feuilles de paie chaque année. Cette fois, il ne s’agirait pas de faire payer "les riches", comme ils le prétendent, mais bien tous les Français. Pour un couple gagnant 1 600€, cela représente 250€ chaque année.

Mais le coût de cette réforme devrait être au final bien plus élevé pour les salariés et les contribuables. Initialement, le décret devait ouvrir le départ à la retraite à taux plein à 60 ans à ceux qui auraient cotisé, et non pas validé, 41 annuités. Mais sous la pression des syndicats, le Gouvernement a déjà commencé à revoir sa copie en intégrant dans ces années de cotisation les congés maternité, les périodes de services militaire et certains congés maladie.

De plus, François Hollande n’a prévu que la part de financement de l’État dans sa réforme. Qu’adviendra-t-il des régimes de retraite complémentaire ? Les deux organismes qui les gèrent, l'Agirc et l'Arrco estiment qu’il leur faudra trouver 9 milliards d’euros d’ici à 2017 pour financer la promesse du Président socialiste. Pour y parvenir, ils n’auront que deux solutions : augmenter les cotisations ou baisser le montant des pensions.

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Les membres du Gouvernement sont présentés selon l'ordre protocolaire.

Publié le 17 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

• M. Jean-Marc AYRAULT, Premier ministre

• M. Laurent FABIUS, ministre des affaires étrangères

• M. Vincent PEILLON, ministre de l'éducation nationale

• Mme Christiane TAUBIRA, garde des sceaux, ministre de la justice

• M. Pierre MOSCOVICI, ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur

• Mme Marisol TOURAINE, ministre des affaires sociales et de la santé

• Mme Cécile DUFLOT, ministre de l'égalité des territoires et du logement

• M. Manuel VALLS, ministre de l'intérieur

• Mme Nicole BRICQ, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie

• M. Arnaud MONTEBOURG, ministre du redressement productif

• M. Michel SAPIN, ministre du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social

• M. Jean-Yves LE DRIAN, ministre de la défense

• Mme Aurélie FILIPPETTI, ministre de la culture et de la communication

• Mme Geneviève FIORASO, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche

• Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement

• M. Stéphane LE FOLL, ministre de l'agriculture et de l'agroalimentaire

• Mme Marylise LEBRANCHU, ministre de la réforme de l'Etat, de la décentralisation et de la fonction publique

• M. Victorin LUREL, ministre des outre-mer

• Mme Valérie FOURNEYRON, ministre des sports, de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative

• M. Jérôme CAHUZAC, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé du budget

• Mme George PAU-LANGEVIN, ministre déléguée auprès du ministre de l'éducation nationale, chargée de la réussite éducative

• M. Alain VIDALIES, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement

• Mme Delphine BATHO, ministre déléguée auprès de la garde des sceaux, ministre de la justice

• M. François LAMY, ministre délégué auprès de la ministre de l'égalité des territoires et du logement, chargé de la ville

• M. Bernard CAZENEUVE, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé des affaires européennes

• Mme Michèle DELAUNAY, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes âgées et de la dépendance

• Mme Sylvia PINEL, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée de l'artisanat, du commerce et du tourisme

• M. Benoît HAMON, ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé de l'économie sociale et solidaire

• Mme Dominique BERTINOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille

• Mme Marie-Arlette CARLOTTI, ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée des personnes handicapées

• M. Pascal CANFIN, ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères, chargé du développement

• Mme Yamina BENGUIGUI, ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée des Français de l'étranger et de la francophonie

• M. Frédéric CUVILLIER, ministre délégué auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, et de l'énergie, chargé des transports et de l'économie maritime

• Mme Fleur PELLERIN, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique

• M. Kader ARIF, ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants.

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François Hollande dévoile la composition du cœur de son cabinet à l'Élysée

Publié le 15 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le président François Hollande a dévoilé mardi, quelques heures après son entrée officielle en fonction, la composition du cœur de son équipe élyséenne, organisée autour du secrétaire général de la présidence, le préfet Pierre-René Lemas.

Dans l'ordre dévoilé par le communiqué de la présidence, M. Hollande sera assisté, au poste de chef d'état-major particulier, par le général de corps d'armée Benoît Puga, 59 ans, un ancien de la Légion étrangère qui exerçait ces mêmes fonctions auprès de Nicolas Sarkozy depuis mars 2010.

"Plume" du candidat Hollande pendant sa campagne présidentielle après avoir été le rédacteur des discours du Premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002, Aquilino Morelle, médecin et énarque qui aura 50 ans le mois prochain, a été nommé conseiller politique.

M. Lemas sera encadré par deux secrétaires généraux adjoints. Le premier, Emmanuel Macron, énarque et inspecteur des Finances, travaillait jusque-là à la banque Rothschild. Le second, Nicolas Revel, fils des journalistes Jean-François Revel et Claude Sarraute, occupait les fonctions de directeur de cabinet du maire de Paris Bertrand Delanoë (PS).

Le poste de directeur de cabinet a été confié à Sylvie Hubac. Énarque de la promotion Voltaire, celle de M. Hollande, Mme Hubac a travaillé au cabinet du Premier ministre Michel Rocard (1988-1991), puis du ministre de la Culture Jack Lang, ensuite à la région Ile-de-France. Elle était jusqu'à présent présidente du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique.

Actuellement préfet des Landes et ancien préfet de Corrèze, le département dont M. Hollande vient de quitter la présidence du Conseil général, Alain Zabulon a lui été nommé directeur de cabinet adjoint.

Enfin, Pierre Besnard, l'actuel chef de cabinet du président du Sénat Jean-Pierre Bel, a été nommé chef de cabinet du nouveau chef de l'État.

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Hollande officiellement investi 7e président de la Ve République

Publié le 15 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

François Hollande a été officiellement investi mardi lors d'une cérémonie à l'Élysée, devenant ainsi le septième président de la Vème République et le 24ème président de la République.

"À compter de ce jour, vous incarnez la France, vous symbolisez la République, vous symbolisez les valeurs la République et vous représentez l'ensemble des Français", a déclaré le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, après avoir rappelé les résultats de l'élection présidentielle (51,6%).

"Monsieur le président de la République, à l'issue d'une consultation électorale à laquelle ont pris part plus de 80% des Français, vous devenez aujourd'hui le 7ème président de la Vème République et le 24ème président de la République française", a déclaré M. Debré.

"Nous mesurons en ces circonstances l'importance de vos responsabilités et nous vous adressons nos vœux sincères de réussite pour votre action et pour celle du gouvernement que vous allez désigner", a-t-il ajouté.

Auparavant, après un entretien en tête-à-tête avec M. Sarkozy de plus de trente minutes sur la transmission des dossiers les plus importants de l'État, M. Hollande s'était vu remettre le collier de grand maître de l'ordre de la Légion d'honneur par le grand chancelier de la Légion d'honneur, comme le prévoit le protocole.

Il a également signé le procès-verbal d'investiture, avant de commencer son allocution d'investiture à 10h46.

La cérémonie se déroule devant quelque 300 invités environ, dont une petite cinquantaine d'"invités personnels" du président élu. Parmi ces derniers, les anciens premiers ministres socialistes, dont Pierre Mauroy, Lionel Jospin, Laurent Fabius et dix prix Nobel français.

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Hollande rend hommage à ses prédécesseurs, de de Gaulle à Sarkozy

Publié le 15 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le nouveau président de la République française François Hollande a rendu hommage mardi à ses prédécesseurs à la tête de l'État, disant vouloir "servir une grande cause, le rassemblement, le redressement, le dépassement" avec "l'espoir" en "fil conducteur".

"À cet instant, et j'en mesure la solennité, où je suis chargé de présider la destinée de notre pays et de le représenter dans le monde, je salue mes prédécesseurs, tous ceux qui, avant moi, ont eu la responsabilité de conduire la République", a-t-il dit dans son premier discours de chef de l'État.

"Charles de Gaulle qui a mis son prestige au service de la grandeur et de la souveraineté de la France, Georges Pompidou qui fit de l'impératif industriel un enjeu national, Valéry Giscard d'Estaing qui relança la modernisation de la société française", a-t-il souligné, avant de saluer François Mitterrand, le seul autre président socialiste de la Ve République.

"François Mitterrand pour lequel j'ai une pensée toute particulière aujourd'hui même, qui fit tant pour faire avancer les libertés et le progrès social", a fait valoir M. Hollande.

Il a aussi salué Jacques Chirac "qui marqua son attachement aux valeurs de la République" et enfin, "Nicolas Sarkozy à qui j'adresse mes vœux pour la nouvelle vie qui s'ouvre devant lui".

Et de conclure: "Mesdames, messieurs, je veux servir une grande cause, le rassemblement, le redressement, le dépassement, et l'espoir doit en être le fil conducteur". "Vive la République et vive la France!", a lancé le président, sous les applaudissements des centaines de personnes présentes dans la salle des fêtes du palais de l'Élysée.

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Programme économique de Hollande: les PME très sceptiques (sondages)

Publié le 14 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Près des trois quarts des cadres et dirigeants de PME doutent de la capacité du président élu François Hollande à relancer l'économie, même si certaines des mesures qu'il propose sont jugées positives, selon un sondage TMO Régions pour Le Journal des entreprises, dimanche.

Seuls 24% des sondés disent faire confiance au nouveau président en matière économique, quand 73% d'entre eux affirment le contraire, relève ce mensuel économique implanté en régions et édité par le Télégramme.

Dans le détail, 79% des dirigeants de PME jugent que l'arrivée du dirigeant socialiste à l'Elysée n'est pas une bonne chose pour sortir de la crise de la dette, et 74% qu'elle ne permettra pas de réduire le chômage.

Concernant les mesures annoncées par M. Hollande, 60% des sondés dénoncent le retour à la retraite à 60 ans pour les carrières commencées tôt et 55% s'opposent à l'indexation du smic sur l'inflation et la croissance.

Sondage réalisé en ligne entre les 9 et 11 mai, auprès de 1.021 cadres et dirigeants de PME.

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Le syndicat de police Alliance demande à Hollande la "présomption de légitime défense"

Publié le 11 Mai 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le syndicat des gardiens de la paix, Alliance, qui a appelé vendredi les policiers à des rassemblements devant les préfectures, a demandé à François Hollande que soit mis en œuvre le "principe de présomption de légitime défense" dans la police.

"Ce n'est pas une revendication politique", a assuré Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance lors d'une conférence de presse au siège parisien de son syndicat.

"Nous demandons au président François Hollande que soit mis en œuvre le principe de présomption de légitime défense" dans la police afin de "mettre les policiers sur le même plan que les gendarmes".

Cette proposition de "présomption de légitime défense" figurait dans le programme de Nicolas Sarkozy. François Hollande n'y était pas favorable.

"Ce n'est pas un permis de tuer mais nous en avons assez que le policier soit présumé coupable" et "mis en examen de manière inacceptable" comme l'a été un gardien de la paix, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), le 25 avril, pour homicide volontaire après avoir tué un malfaiteur en fuite.

"C'est une double peine", a-t-il estimé, "il n'y a pas les mêmes droits en France pour les policiers et les voyous".

M. Delage s'exprimait peu avant les rassemblements auxquels son syndicat a appelé vendredi midi devant les préfectures, à la suite de cette mise en examen qui a déclenché une série de manifestations de policiers.

A Paris, devant la fontaine Saint-Michel, non loin de la préfecture de police de Paris (PP), ils étaient 900 policiers venus de Paris et sa proche banlieue, selon les chiffres de la PP et 2.000 selon les organisateurs au rang desquels Synergie (2nd syndicat d'officiers). À Cergy (Val-d'Oise) ils étaient 200.

Il y en avait une centaine devant les préfectures de Rennes, Lyon ou Lille où le responsable zonal d'Alliance, Benoît Lecomte, a dit: "nous nous rassemblons pour faire pression sur le futur gouvernement".

À Lyon, les manifestants portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: "Flic en 2012 = cercueil ou prison".

M. Delage appelle par ailleurs le futur gouvernement à l'organisation d'un "Grenelle de la Sécurité" sur ce sujet mais aussi sur les conditions de travail et les moyens.

"Si nous ne sommes pas entendus, nous organiserons d'autres formes de mobilisation", a prévenu le syndicaliste.

La colère des policiers ne se dément pas: ils ont manifesté en France jeudi à l'appel du premier syndicat de gardiens de la paix, Unité police SGP-FO.

Son secrétaire général, Nicolas Comte, n'a pas ménagé le prochain gouvernement à qui il a lancé un "avertissement" si "rien ne change.

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N'ayant pas démérité, je refuse d'être culpabilisé

Publié le 17 Avril 2012 par Philippe BOUVARD dans Point de Repère

Philippe-Bouvard.jpgN'ayant pas démérité, je refuse d'être culpabilisé

Je ne suis pas un héritier.

Je n'ai jamais disposé d'un franc puis d'un euro que je n'aie gagné à la salive de ma langue ou à l'encre de mon stylo.

Je profite d'une aisance qu'il ne m'est possible de sauvegarder qu'en continuant à travailler -à 82 ans- dix heures par jour et 365 jours par an.

J'ai élevé de mon mieux mes enfants.

J'aide mes petits-enfants à poursuivre les études qui n'ont pas été à ma portée.

J'ai toujours payé mes impôts sans un seul jour de retard et sans un mot de remerciement.

J'ai financé des porte-avions qu'on ne m'a pas admis à visiter, des bâtiments officiels à l'inauguration desquels on a omis de me convier.

Et ne voilà-t-il pas qu'un énarque , entretenu depuis sa majorité par les contribuables, voudrait me faire honte de ce que je gagne avant de me déposséder de ce qui a échappé à la triple érosion du fisc, de l'inflation et des emplettes inutiles !

Je suis un créateur et un mainteneur d'emplois.

Je fais vivre des proches dont certains m'accompagnent depuis plus de trente ans et que le candidat socialiste (puisque c'est de lui dont il s'agit) projette implicitement de diriger vers les Assedic.

Or, en quoi ai-je démérité ?

Ai-je volé quelque chose à quelqu'un ?

N'ai-je pas donné au fur et à mesure que je recevais, persuadé que la dépense constituait le plus efficace acte social ?

J'ai perçu quelques heures supplémentaires mais sans aucune subvention.

Je n'ai touché d'autre argent public que la maigre solde d'un sous-officier durant mes quinze mois de service militaire.

Je n'ai jamais bamboché aux frais d'une République qui examine à la loupe les additions de restaurant de ses dignitaires mais qui continue à les régler.

Je n'ai pas fréquenté de paradis fiscaux.

On chercherait en vain la plus petite niche chez moi depuis que j'ai cessé d'avoir des chiens.

Une seule fois, je me suis délocalisé dans le cadre de la loi Pons à la coûteuse faveur d'un investissement hôtelier dans les DOM-TOM qui m'a fait perdre 100 % de ma mise.

A la distribution des bonus, des stock-options et des dividendes, j'ai toujours été oublié.

Mon casier judiciaire est vierge.

Mon courage est intact.

Je ne suis pas un damné de la terre. Mais je ne suis pas non plus un profiteur ou un esclavagiste.

Je ne suis le protégé de personne sauf celui du public auquel je dois la longueur de mon parcours.

J'ai mes opinions mais je n'ai jamais adhéré qu'au parti des amoureux de la France.

J'ai versé à la collectivité davantage que je n'en ai reçu : pas un jour de chômage et une seul nuit d'hospitalisation en six décennies.

Je me situe sans honte mais sans fierté excessive dans cette classe moyenne qu'on souhaite faire disparaître en nivelant notre société par le bas.

Je refuse autant d'être culpabilisé par un politicien (qui voudrait qu'on prenne son inexpérience pour de la normalité) que la France accorde sa confiance à un homme que l'Europe prive de la sienne et qui, bien qu'ambitionnant de devenir le gardien de la Constitution, ne parait pas s'être préoccupé de la constitutionnalité de ses propositions.

Quant à moi, j'aurai nourri des enfants, construit des maisons, planté des arbres.

Mission accomplie.

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Sarkozy inaugure le Palais de Tokyo rénové dédié à l'art contemporain

Publié le 11 Avril 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Palais-de-Tokyo.jpgLe président Nicolas Sarkozy a inauguré mercredi le Palais de Tokyo rénové, désormais entièrement dédié à l'art contemporain et notamment à la scène française, trois ans après avoir arbitré sur le devenir de ces 22.000 mètres en plein Paris.

A onze jours du premier tour de l'élection présidentielle, M. Sarkozy, accompagné du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, a visité pendant une heure l'un des chantiers culturels de sa présidence.

"Cet équipement, dont la réalisation a été décidée à l'occasion du Conseil des ministres du 20 mai 2009, sera, avec une surface d'exposition de 22.000 mètres carrés, le plus grand centre d'art d'Europe", a assuré l'Élysée dans un communiqué, soulignant qu'il aurait "notamment pour mission de promouvoir les artistes de la scène française".

"En plein cœur de Paris, des milliers de m2 ne servaient à rien. On avait oublié la magie du lieu", a lancé le chef de l'État.

"Ce lieu va donner la possibilité aux artistes de montrer leur travail. C'est une grande souffrance de ne pas pouvoir exposer. La création existe parce qu'elle est vue", a-t-il ajouté.

"Ce que j'ai vu au palais de Tokyo, c'est vraiment un émerveillement. Je pense à Paris, ville que j'aime profondément. Paris est une ville musée, cela crée une responsabilité pour la création de demain. Vous les artistes, vous êtes le patrimoine de demain", a-t-il insisté, se disant "persuadé" que le Palais de Tokyo serait bientôt "un lieu mondial".

La société publique du Palais de Tokyo est présidée par Jean de Loisy, commissaire de nombreuses expositions dont l'une, "Les maîtres du désordre", ouvre ce mercredi au musée du quai Branly.

Fermée pour travaux depuis près de dix mois, l'aile ouest du Palais de Tokyo, bâti en 1937 pour l'Exposition universelle, abritait depuis dix ans le Site de création contemporaine sur 7.000 mètres carrés, le reste étant en déshérence depuis l'abandon du projet de Palais du cinéma en 1998. L'autre aile abrite le Musée d'art moderne de la Ville de Paris.

Pour cette rénovation qui a coûté 20 millions d'euros, les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, déjà à l'œuvre pour l'ouverture du Site de création contemporaine dédié aux artistes émergents, ont réunifié le bâtiment désormais offert presque tout entier à la création.

Ils ont travaillé de façon économe et sobre, faisant tomber des cloisons, des sous-plafonds, remettant en valeur les verrières occultées.

Le Palais de Tokyo entrouvrira ses portes au public jeudi et vendredi. La véritable ouverture aura lieu le 20 avril avec une grande exposition inaugurale, la Triennale.

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Baisse de 9% de la mortalité routière en mars

Publié le 11 Avril 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le nombre de personnes tuées sur les routes de France a continué de baisser en mars, diminuant de 9% après une réduction "historique" de plus de 25% en février, a annoncé mercredi la Sécurité routière.

"Au mois de mars 2012, 274 personnes ont perdu la vie sur les routes de France contre 301 en mars 2011, ce qui représente une baisse de 9%, soit 27 vies épargnées", s'est félicitée la Sécurité routière dans un communiqué.

"Sur les trois premiers mois de l'année, le recul du nombre de morts est de 13,6% par rapport à la même période de l'année précédente, ce qui équivaut à 122 vies épargnées", précise le communiqué.

"Sur douze mois glissants, avec 3.845 personnes tuées (d'avril 2011 à mars 2012), la mortalité routière poursuit sa baisse tendancielle enregistrée depuis mai 2011".

Le président Nicolas Sarkozy a plusieurs fois réaffirmé l'objectif de faire baisser le nombre de tués sur les routes de France métropolitaine à moins de 3.000 en 2012 contre 3.970 en 2011.

"Pour maintenir cette tendance, chacun d'entre nous doit poursuivre ses efforts, notamment à l'approche des beaux jours et des vacances de Pâques", ajoute la Sécurité routière. "Pour le respect de la vie, une conduite prudente, apaisée et respectueuse des autres usagers et de l'environnement s'impose à tous."

La diminution en février de 25,3% du nombre de morts sur les routes françaises avait fait de ce mois celui où la mortalité mensuelle avait été la plus faible depuis l'immédiat après-guerre, avait relevé la Sécurité routière le mois dernier.

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Sarkozy rend hommage à Aubrac, "figure héroïque" de la Résistance

Publié le 11 Avril 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Lucie-et-Raymond-Aubrac.jpgLe président Nicolas Sarkozy "a tenu à rendre, très solennellement, hommage à la mémoire de Raymond Aubrac, figure héroïque de la Résistance".

"Engagé contre l'occupant dès 1940, fondateur du mouvement Libération-Sud, membre de l'Armée secrète, Raymond Aubrac était l'un des compagnons de clandestinité de Jean Moulin, avec lequel il fut arrêté à Caluire le 21 juin 1943. Son évasion, grâce au courage de sa femme Lucie Aubrac, est entrée dans la légende de l'histoire de la Résistance", rappelle M. Sarkozy.

"Ces héros de l'ombre qui ont sauvé l'honneur de la France, à un moment où elle semblait perdue, disparaissent les uns après les autres. Nous avons le devoir d'en maintenir le souvenir vivant au cœur de notre mémoire collective", affirmé également le chef de l'État.

Dans un autre communiqué, François Fillon a lui aussi exprimé son "émotion" après la disparition d'une "haute figure de la Résistance", qui avec une "poignée de Français" avait refusé "dès le début de l'Occupation (...) le déshonneur de la défaite et de l'Occupation".

"Le nom de Raymond Aubrac est indissociable de son épouse Lucie", note le Premier ministre. "Résistante comme lui, elle aussi fait partie des héros de la première heure. Leur nom ne s'effacera jamais. Ils font partie de la grande Histoire de France", souligne M. Fillon.

Raymond Aubrac, l'un des derniers cadres de la Résistance, s'est éteint mardi soir à l'âge de 97 ans à l'hôpital militaire du Val de Grâce. Il était l'une des dernières personnalités de la Résistance à avoir connu Jean Moulin. Sa femme Lucie Aubrac, elle aussi héroïne de la Résistance, était morte en 2007 à l'âge de 94 ans.

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Les impôts expliqués par un Prof d'économie

Publié le 22 Mars 2012 par David R. Kamerschen, Professeur d'économie dans Point de Repère

En gros, taxons trop les très riches, mais s'ils partent, les pauvres ne pourront pas faire tourner la boutique ...

C' est l'une des raisons du fameux bouclier fiscal

Les impôts expliqués par un Prof....

Le principe des impôts semble pouvoir s'expliquer par une logique assez simple.

Mais beaucoup pourtant ne le saisissent toujours pas.

 

Comme c'est la saison des taxes, laissez-moi vous l'expliquer en des termes simples que tout le monde peut comprendre.

Imaginons que tous les jours, 10 amis se retrouvent pour boire une bière et que l'addition totale se monte à 100 euros.

(Normalement, cela ferait 10 euros par personne).

 

Mais nos dix amis décidèrent de payer cette facture selon une répartition qui s'inspire du calcul de l'impôt sur le revenu, ce qui donna ceci :

Les 4 premiers (les plus pauvres !), ne paient rien.

-          Le cinquième paye 1 euro

-          Le sixième paye 3 euros

-          Le septième paye 7 euros

-          Le huitième paye 12 euros

-          Le neuvième paye 18 euros

-          Le dernier (le plus riche !) paye 59 euros.

Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour en fin de journée pour boire leur bière et semblaient assez contents de leur arrangement.

 

Jusqu'au jour où le tenancier décida de leur faire une remise de fidélité ! « Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une remise de 20 euros sur la facture totale.

Vous ne payerez donc désormais vos 10 bières que 80 euros.. »

 

Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu'ils auraient payé leurs taxes. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement.

 

Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient-ils diviser les 20 euros de remise de façon équitable ?

 

Ils réalisèrent que 20 euros divisé par 6 faisaient 3.33 euros. Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5ème et 6ème homme devraient être payés pour boire leur bière.

 

Le tenancier du bar suggéra qu'il serait plus équitable de réduire l'addition de chacun d'un pourcentage du même ordre, il fit donc les calculs.

 

Ce qui donna ceci :

Le 5ème homme, comme les quatre premiers ne paya plus rien. (un pauvre de plus ? )

-          Le 6ème paya 2 euros au lieu de 3 (33% réduction)

-          Le 7ème paya 5 euros au lieu de 7 (28% de réduction)

-          Le 8ème paya 9 euros au lieu de 12 (25% de réduction)

-          Le 9ème paya 14 euros au lieu de 18 (22% de réduction)

-          Le 10ème paya 50 euros au lieu de 59 euros (16% de réduction)

Chacun des six "payants" paya moins qu'avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement rejoint par le 5ème.

 

Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie :

"J'ai seulement eu 1 euro sur les 20 euros de remise", dit le 6ème il désigna le 10ème "lui, il a eu 9 euros".

" Ouais ! dit le 5ème, j'ai seulement eu 1 euro d'économie moi aussi »

" C'est vrai ! " s'exclama le 7ème, « pourquoi le 10ème aurait-il 9 euros d'économie alors que je n'en ai eu que 2 ?  Il est anormal que ce soit le plus riche qui bénéficie de la plus importante réduction"

 

" Attendez une minute" cria le 1er homme, "nous quatre n'avons rien eu du tout nous. Le système exploite les pauvres".

Les 9 hommes cernèrent le 10ème et l'insultèrent.

Le lendemain le 10ème homme (le plus riche !) choisit de ne plus venir.

Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quand vint le moment de payer leur note, ils découvrirent quelque chose d'important : ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition !

Et cela, mes chers amis, est le strict reflet de notre système d'imposition.

Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction des impôts.

Taxez les plus forts, accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais.

En fait ils vont boire à l'étranger...

 

Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire.

Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.

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Nicolas Sarkozy salue le triomphe de "The Artist" à Hollywood

Publié le 27 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

jean_dujardin_et_berenice_bejo_dans_the_artist_en_2011-_war.jpgLe président Nicolas Sarkozy a qualifié lundi de "succès formidable pour le cinéma français et le cinéma de qualité" le couronnement de "The Artist" et de son acteur principal Jean Dujardin lors de la cérémonie des Oscars.

Sur RTL, le chef de l'Etat, candidat à sa réélection, s'est réjoui des récompenses obtenues par ce film dans la nuit de dimanche à lundi à Los Angeles: "c'est un succès formidable pour le cinéma français et pour le cinéma" de qualité", a-t-il dit rappelant que le film est muet et en noir et blanc. "Si ça pouvait donner l'idée de voir Capra, Lubitsch, le cinéma italien"..."J'ai bien sûr adoré" The Artist, a-t-il encore dit.

Il a qualifié Jean Dujardin de "fantastique" aussi "parce qu'on comprend très bien son anglais". "On a envie de parler anglais avec lui parce qu'on comprend absolument tout", a-t-il plaisanté.

M. Sarkozy s'est dit heureux pour le producteur de l'oeuvre Thomas Langmann, fils de Claude Berri qui, "là ou il se trouve, doit nous regarder".

"Les films, on doit les payer, on ne doit pas les pirater", a encore souligné le chef de l'Etat. Avoir prédit la fin du cinéma en salle au moment de l'invention du home-cinéma, "c'était totalement faux", a-t-il ajouté.

Ce succès français aux Etats-Unis, "c'est merveilleux, qu'ils écoutent aussi nos musiques, nos chansons...", a-t-il insisté.

M. Sarkozy avait plus tôt, dans un communiqué, adressé "ses plus vives félicitations à l'équipe de +The Artist+", oeuvre qui "témoigne de la vitalité exceptionnelle de notre cinéma et de la réussite de la politique conduite par les pouvoirs publics pour conforter l'excellence de cette grande industrie française".

"The Artist" a reçu cinq oscars à Hollywood, dont celui de meilleur réalisateur, meilleur film et meilleur acteur pour Jean Dujardin.

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Plus d'un million de Français bénéficient d'une retraite chapeau

Publié le 23 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Plus d'un million de Français bénéficient d'une retraite dite "chapeau", que le président-candidat Nicolas Sarkozy veut supprimer pour les dirigeants de grandes entreprises, selon des chiffres publiés en 2009 par la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA).

Selon un spécialiste du secteur, ces chiffres n'ont que peu évolué depuis.

Si elles sont, avec les parachutes dorés, devenues le symbole des avantages rondelets dont bénéficient les patrons après avoir quitté leur poste, elles ne sont donc pas l'apanage des PDG, même si elles sont le plus souvent réservées aux cadres voire aux cadres dirigeants.

Environ 50% des bénéficiaires de ce régime ont une rente, ou complément de retraite, inférieure à 2.000 euros annuels, selon ces mêmes chiffres.

Ces pensions "surcomplémentaires", également connues sous le nom de retraites à prestations définies ou "article 39", consistent pour un employeur à financer une rente définie à l'avance pour le salarié ayant quitté l'entreprise, qui viendra s'ajouter à celle versée par la caisse de retraite.

Elles présentent toujours de nombreux avantages fiscaux pour l'entreprise: les sommes versées --souvent via un assureur externe-- sont notamment exonérées de charges patronales et de la CSG, et les rentes effectivement touchées par l'employé sont déductibles du résultat imposable de l'entreprise.

L'exonération de charges remonte à la loi Fillon sur les retraites de 2003, et a rendu le mécanisme, déjà existant, très attractif.

Les partisans du régime soulignent qu'il permet de récompenser et de fidéliser les salariés dans les entreprises qui ne peuvent pas mettre en place d'autres dispositifs de rémunération complémentaire (participation, intéressement, stock-options).

En effet, "l'employé qui quitte l'entreprise avant la retraite perd ses droits", même s'il peut y avoir des exceptions, souligne Simon Desrochers, directeur du cabinet de conseil en rémunération Towers Watson.

Objet de nombreuses polémiques, le régime fiscal avait subi un important tour de vis lors de la réforme des retraites de 2010, qui a déjà beaucoup freiné le développement des retraites chapeau avec l'introduction de taxes spéciales de 7%, 14% ou 21% suivant les rentes.

"On s'est rendu compte que ce n'était plus très intéressant, j'imagine que c'était l'objectif du gouvernement", explique M. Desrochers.

Environ 11.000 entreprises ont des accords de retraite chapeau, selon les chiffres publiés en 2009.

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Présidentielle: le Conseil constitutionnel refuse de rendre les parrainages anonymes

Publié le 21 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

C'est une bataille perdue par Marine Le Pen. Le Conseil constitutionnel valide la publicité des parrainages d'élus nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. 

Le Conseil constitutionnel a décidé ce mardi que la règle imposant de rendre publics les 500 parrainages d'élus nécessaires pour concourir à la présidentielle était toujours valable.

La règle de la publicité, inscrite dans la loi organique du 6 novembre 1962 sur l'élection du président de la République au suffrage universel, "ne saurait en elle-même méconnaître le principe du pluralisme", selon la décision communiquée à la presse, qui déboute la candidate du Front national Marine Le Pen de sa demande de rétablir l'anonymat des parrainages. 

Selon le juge constitutionnel, "en instaurant une telle publicité, le législateur a entendu favoriser la transparence de la procédure de présentation des candidats à l'élection présidentielle", et la publicité "est conforme à la Constitution".

 

Marine Le Pen avait fait valoir qu'en dépit de l'audience de son parti, elle risquait de ne pas pouvoir réunir les 500 parrainages nécessaires, au motif, selon elle, que les maires ne pouvaient pas donner leur signature dans l'anonymat et qu'ils étaient l'objet de pressions.

La présidente du FN affirme disposer d'environ 400 promesses de signatures, sur 42 000 élus habilités à parrainer. Son père, Jean-Marie Le Pen a toutefois déclaré mardi que, "heureusement", la candidate d'extrême droite approche de la barre fatidique des 500.

Christine Boutin, elle-même retirée de la course présidentielle, et Corinne Lepage s'étaient jointes à la réclamation du FN. 

 

 

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Réaction de Thierry MARIANI, cofondateur de la Droite populaire, aux déclarations de Christian Vanneste sur l’homosexualité

Publié le 15 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

" J’ai mené avec Christian VANNESTE bien des combats et nos points de vue se rejoignent sur bien des sujets.

Pour autant, je ne peux me résoudre à le laisser continuer à s’engager, s’agissant de la question de l’homosexualité et des homosexuels, sur le terrain de la provocation permanente et, désormais, sur celui du négationnisme.

Je veux donc d’une part condamner le plus fermement ses récents propos sur la « légende de la déportation des homosexuels » et, d’autre part, l’appeler à plus de retenue et au respect de nos concitoyens homosexuels.

S’opposer à l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe est une position politique que je partage, avec le Président de la République aussi d’ailleurs. Mais s’en prendre, de manière régulière et outrancière, aux homosexuels est injustifiable et incompatible avec les valeurs de notre famille politique. "

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Le projet de loi sur la majoration des droits de construire adoptée en commission

Publié le 15 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Le projet de loi qui doit permettre de doper la construction de logements en augmentant de 30% les droits à construire a été adopté mardi soir en commission par l'Assemblée, avant d'être examiné en séance plénière le 21 février.

Ce texte, annoncé fin janvier par le président Sarkozy, vise à favoriser l'offre de logements en favorisant la densification des constructions.

Sans surprise, l'opposition de gauche a voté contre.

L'article unique du texte porte sur le dispositif de majoration des règles de constructibilité applicables dans les collectivités locales dotées d'un plan local d'urbanisme, d'un plan d'occupation des sols ou d'un plan d'aménagement de zone.

Présentant le texte le 8 février dernier à l'issue du conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement Valérie Pécresse avait souligné que serait ainsi autorisée "la construction de 100.000 logements supplémentaires d'ici 2016".

Elle avait également affirmé que le projet réservait aux collectivités locales la possibilité de s'opposer à l'augmentation des droits à construire "par une délibération expresse".

Benoist Apparu, secrétaire d'Etat au logement, a insisté sur le fait d'une part que cette nouvelle loi "n'impliquait aucun engagement financier de l'Etat", d'autre part que les terrains non constructibles le restaient.

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Présidentielle: 61% des Français souhaitent que Sarkozy se déclare vite (OpinionWay)

Publié le 13 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

Plus de 6 Français sur 10 (61%) voudraient que Nicolas Sarkozy "se déclare le plus tôt possible" candidat à l'élection présidentielle, 36% répondant "le plus tard possible" et 3% ne sachant pas, selon un sondage OpinionWay-Fiducial pour La Croix rendu public dimanche.

Par ailleurs, à la question: "diriez-vous que la campagne telle qu'elle se déroule apporte des réponses à vos préoccupations?", 38% des personnes interrogées répondent qu'elle apporte des réponses "proches", en hausse de 10% sur un mois, et 61% "éloignées", en baisse de 10%, 1% ne sachant pas.

François Hollande et Nicolas Sarkozy sont jugés comme ceux qui "proposent les meilleures solutions" aux préoccupations quotidiennes, 24% des Français désignant le candidat du PS et 23% le président sortant. Les deux hommes progressent chacun de 2 points sur un mois.

François Bayrou est 3ème (19%, inchangé), suivi de Marine Le Pen (16%, -1) et Jean-Luc Mélenchon (11%, +3).

Eva Joly (4%) perd 2 points et Dominique de Villepin (2%) 1 point.

À l'exception de Frédéric Nihous (O%), les autres candidats, Nathalie Arthaud, Philippe Poutou, Corinne Lepage, Hervé Morin, Christine Boutin, Nicolas Dupont-Aignan obtiennent 1%. 27% des personnes interrogées répondent "aucun", alors que deux réponses étaient possibles.

Les Français placent l'emploi en tête de leurs préoccupations (53%), suivi de la hausse des prix (39%), du remboursement des soins (37%), de la protection de la retraite (35%) et de l'accès des jeunes au marché du travail (34%).

La dépendance des personnes âgées et la pollution (8% chacun) et la sécurité de l'épargne (7%) sont derniers.

Sondage réalisé en ligne du 6 au 8 février auprès d'un échantillon représentatif de 1.346 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

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Suivez en direct la conférence Sarkozy-Merkel

Publié le 6 Février 2012 par Philippe LE ROUX - Délégué de Circonscription dans Point de Repère

12-02-06---Conf-press-NS---Merkel.jpgLe président français et la chancelière allemande tiennent une conférence de presse à l'occasion du conseil des ministres franco-allemand. Suivez-la conférence avec L'Express et Public Sénat.

Une alliée de poids dans la course à l'Élysée… La chancelière Angela Merkel est arrivée lundi en fin de matinée à Paris pour diriger avec Nicolas Sarkozy, en pleine campagne présidentielle française, le 14e conseil des ministres franco-allemand.

La réunion annuelle a débuté par un entretien entre le président et la chancelière, en présence de François Fillon, avant une conférence de presse et un déjeuner avec les ministres. Au menu de leurs discussions, les deux dirigeants doivent évoquer la crise financière de la zone euro, et notamment la situation de la Grèce qui doit boucler un nouveau plan de rigueur, ainsi que la convergence fiscale entre leurs deux pays et le projet de taxe sur les transactions financières. 

Cliquez ici et suivez en direct la conférence de presse de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel avec Public Sénat.

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