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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

L'UMP lance sur internet son "tableau de bord de la réfome"

Publié le 6 Novembre 2007 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonsription in UMP

L'UMP a lancé, mardi, sur Internet son "tableau de bord de la Réforme", un "outil" interactif destiné à évaluer "l'état d'avancement de la mise en oeuvre" de quinze engagements électoraux du candidat Nicolas Sarkozy.

Ce tableau de bord consultable sur le site de l'UMP ou directement sur (http://tableaudebord.u-m-p.org ) a été mis en ligne, pour un coût de 50.000 euros, et "pour toute la durée du quinquennat", selon l'UMP.

"On n'est pas là pour noter les ministres. La note (sur une échelle de 0 à 3, ndlr) qui est donnée pour chaque engagement reflète où on en est de sa mise en oeuvre", a précisé le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian, lors d'un point de presse.

Pour l'instant, seul l'engagement "l'Europe doit protéger dans la mondialisation" a obtenu la note maximale de 3 (réalisation particulièrement significative de l'engagement).

Quatre ont obtenu la note intermédiaire de 2 (notamment "réhabiliter le travail" et "répondre à l'urgence du développement durable"). Dix engagements en restent à la note 1 (première action engagée), comme "vaincre le chômage" ou "augmenter le pouvoir d'achat".

"Les ministres pourront répondre et s'expliquer" sur un blog accessible à tous et associé au site, a expliqué M. Devedjian.

Interrogé sur le bilan de Nicolas Sarkozy au terme de six mois de présidence M. Devedjian a estimé que la session extraordinaire avait "immédiatement engagé les réformes les plus difficiles", a-t-il dit, citant notamment le bouclier fiscal, les heures supplémentaires, les droits de succession.

Sur le Traité européen simplifié, "on est allé très très vite (...) dans d'autres domaines ça va moins vite parce que c'est plus difficile".

"Je conviens par exemple que sur le pouvoir d'achat nous n'avons pas encore de résultat", et "la question de la croissance n'est pas encore réglée mais c'est aussi un phénomène qui parfois ne dépend pas que de nous", a ajouté M. Devedjian.