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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

Vœux de Patrick Devedjian : En 2008, l'UMP fera des propositions sur le pouvoir d'achat Devedjian

Publié le 7 Janvier 2008 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonsription in UMP

Devedjian.jpgEn 2008, l'UMP préconisera des "mesures concrètes" pour améliorer le pouvoir d'achat des Français, "mais cela suppose la suppression de certains blocages", a déclaré lundi son secrétaire général Patrick Devedjian, à l'occasion de ses voeux à la presse.

"L'essentiel, cette année, c'est la progression du pouvoir d'achat", a-t-il déclaré et "l'UMP préconisera un certain nombre de mesures concrètes" sur le pouvoir d'achat. "Mais cela suppose la suppression de certains blocages de la société", a-t-il ajouté.

Interrogé sur les mesures envisagées, M. Devedjian a répondu que l'UMP les exposerait "très prochainement", à l'occasion d'un point de presse entièrement dédié au sujet.

Selon lui, la France "a un retard ancien à rattraper". "En 2000, a-t-il dit, la gauche jouissait d'une belle croissance qui a été plombée par les 35 heures".

"Le démantèlement des 35 heures a été engagé et nous souhaitons qu'il soit poursuivi", a-t-il ajouté.

Interrogé sur une éventuelle remise en cause de la durée légale du temps de travail, M. Devedjian a répondu que "ce qui compte c'est la durée effective du travail".

"La durée légale du travail n'est pas un problème lancinant dans notre pays, ce qui est lancinant c'est la durée réelle du travail", a-t-il ajouté.

Aux questions des journalistes sur la baisse du moral des ménages français et le recul (de 2 à 7 points selon les sondages,) de la cote de confiance de Nicolas Sarkozy, en un mois, M. Devedjian a répondu que "ce qu'attendent les Français, c'est l'augmentation de leur pouvoir d'achat".

C'est "la première préoccupation des Français, parce que le chômage ne l'est plus, et c'est une vraie chance parce que ça veut dire que le chômage recule", a-t-il estimé.

"Mais aujourd'hui 17% des salariés sont au SMIC, c'est une trappe à pauvreté", a fait observer M. Devedjian.