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Un Républicain de Guingamp

Site de Philippe LE ROUX, ancien Délégué de la quatrième circonscription des Cotes-d'Armor et Conseiller chargé des grands projets auprès de la Direction de l'UMP

Ségolène ROYAL a dépassé les bornes. A-t-elle pété un câble ?

Publié le 9 Juillet 2008 par Philippe LE ROUX - Délégué de la Circonsription

L'UMP a dénoncé mardi soir des "propos honteux", après que Ségolène Royal eut établi sur France 2 "un rapport" entre la fouille de son appartement cambriolé et son accusation de "mainmise du clan Sarkozy sur la France".

La gravité des accusations proférées par Madame Royal sont le signe qu’elle perd ses nerfs. Ce n’est pas la première fois que cela lui arrive et cela vient tout simplement confirmer qu’elle n’a pas les qualités indispensables à une femme d’Etat.

 

"Au lieu de chercher des boucs-émissaires, Madame ROYAL serait bien inspirée de se comporter en citoyenne responsable et non chercher en permanence tous les prétextes pour se venger de la sévère défaite qui lui a été infligée par les Français il y a maintenant un an", a déclaré Frédéric Lefebvre.

 

"J'observe que la semaine dernière, le lendemain où j'ai dit qu'il fallait mettre fin à la mainmise du clan Sarkozy sur la France, mon domicile a été mis à sac (...) Je fais un rapport entre les deux. Je considère qu'aujourd'hui il y a une mainmise du pouvoir sur les médias (...)", avait affirmé sur France 2 l'ex-candidate PS à l'élection présidentielle.

Comme on lui demandait s'il s'agissait d'"une forme d'accusation formulée contre le pouvoir en place", la présidente de la région Poitou-Charentes avait répondu: "C'est une drôle de coïncidence".

 

L'UMP a réagi à ces déclarations en dénonçant des "propos honteux".

 

"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré dans un communiqué une des trois porte-parole du parti majoritaire, Chantal Brunel.

"Certaines limites, qui sont celles de la diffamation et de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République", a-t-elle ajouté.

 

"Que Mme Royal s'oppose pour s'opposer, elle est dans son rôle. Que Mme Royal se crée un personnage de martyr, poursuivie par une sorte de Cinquième colonne médiatico-politique, voilà qui dépasse les bornes", toujours selon Chantal Brunel.

 

Dans son intervention à France 2, Ségolène Royal a contesté le terme de "cambriolage" de son appartement parisien le 27 juin, parlant à deux reprises de "mise à sac". Elle s'est dite "la seule responsable politique à dénoncer très clairement ce qui se passe contre le service public de l'audiovisuel".